Visite de Jacques chez Bristol Braille Technology. Partie 1 : discussion autour de la tablette braille CANUTE

Début mai, je me suis rendu à Bristol en Angleterre pour visiter Bristol Braille Technology qui conçoit une tablette braille, le Canute. Cette tablette possède 9 lignes de 40 cellules braille 6 points et fonctionne avec une technologie électromécanique.

Dans cette première partie, je donne mon ressenti après les tests du Canute à Philippe et nous vous proposons nos points de vue sur la tablette et sa technologie d’affichage du braille.


Vous aimez les livres audio ? Essayez le service Audible

2 commentaires :

  1. Un grand merci pour la qualité de vos podcasts, et pour la prise en compte de l’importance évidente du braille pour les aveugles et très mal-voyants.

    Je partage vos avis: le concept de cette tablette est très intéressant même si à ce stade son bruit ne serait pas acceptable pour moi. De quoi gâcher la lecture d’un bon livre!
    Mais toute cette activité autour du braille numérique va aboutir à quelques-chose, j’en suis certain. Attendons déjà comme première étape la sortie de l’Orbit Reader, qui ne devrait plus tarder. Le problème vient des difficultés actuelles pour sa production. J’ai pu toucher un exemplaire il y a quelques mois et c’est très prometteur, même s’il n’y a pas de curseur rooting. Le bruit est très réduit et l’afficheur est bien réactif pour le défilement des lignes braille.

    A suivre!

  2. Bonjour
    Avec le projet Brailleme, ça fait au moins 3 projets innovants d’appareils braille à bas prix, c’est encourageant.
    Concernant l’Orbit 20, les associations membre du Consortium qui ont réuni les fonds nécessaires à son développement, dont l’AVH, devaient pouvoir l’acquérir au prix de 350 $ u-s contre 500 $ pour les non contributeurs. Reste à savoir combien l’AVH le revendra. J’avais demandé, au congrès national 2016 de l’association, quelle était la politique de l’AVH pour ce projet : récupérer les 100000 € qu’elle (ou sa fondation) avait investis, tirer bénéfice de ces ventes au delà de cet investissement, ou vendre l’Orbit le moins cher possible, une fois les frais de localisation et d’adaptation pris en compte? Personne n’avait alors été capable de répondre à cette question, et la seule réponse que j’avais obtenue était un prix inférieur à 1000 €. A mon avis, l’AVH pourrait toutà fait le vendre 500 € sans perdre d’argent, si elle n’est pas dans l’objectif de récupérer la subvention initiale. Il est tout de même étonnant que cette question n’ait pas été réfléchie en amont.
    Merci d’avoir abordé ce sujet qui est, pour moi aussi, essentiel, merci à Jacques d’être allé se rendre compte sur place et de nous faire partager son expérience.
    Et que diriez-vous d’aborder le braille musical informatique ? (BME2, BMR, XML Music Reader…)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.